« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.

lundi 23 janvier 2012

Roman photo: Nelly Kaprièlian et Philippe Sollers.

Le 23 janvier 2012 le site de l'hebdomadaire Les inrockuptibles met en ligne un compte-rendu rédigé par Nelly Kaprièlian du dernier livre de Philippe Sollers :
"(...) une hybridation de la  vie amoureuse et de l'art (...)  La femme a un  corps qu'il faut aimer. (...) Son labyrinthe nous mène au  coeur d'un corps jouissant, à coups de bifurcations Manet par-ci et de  virages Picasso par-là, quand finalement seul le minotaure Sollers  aurait suffi. (...) La guerre, qu'on le sache, n'est pas un art du repos et encore  moins de la sérénité. N'empêche, c'est un art. Et Sollers le pratique  avec un panache certain."

Pour expliquer cette prose enthousiaste il n'est peut-être pas sans intérêt de se souvenir de l'émission Ce soir (ou jamais!) du 6 juin 2011 dans laquelle Philippe Sollers et Nelly Kaprièlian étaient côte à côte :

Philippe indique sa place à Nelly.

Philippe guide Nelly.

Philippe aide Nelly à se tenir droite.

Philippe continue d'aider Nelly.

Philippe est ébloui par Nelly.

Philippe contemple Nelly.

Philippe est émerveillé par Nelly.

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