Le 10 juillet 2014 Le Point met en ligne " L'édito de Franz-Olivier Giesbert " .
Cette lumière ose tout, et c'est à cela qu'on le reconnaît :
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
samedi 12 juillet 2014
La vérité oblige à dire que Franz-Olivier Giesbert est au journalisme ce que Marine Le Pen est à la politique.
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