Le " socialiste " solférinien Pierre Moscovici n'est plus ministre de l'économie et des finances.
C'est l'occasion pour ce cabotin sans envergure de mettre en ligne ce 7 avril 2014 un article sur son blog dans lequel il essaye de convaincre ses 3 lecteurs (son chauffeur, sa compagne et moi) qu'il est un héros au service des dominants.
Extraits :
le financement des projets de nos entreprises
la préparation du pacte de responsabilité et des économies budgétaires
Nous avons en outre mis en œuvre le pacte de compétitivité, décidé fin 2012, et le CICE, qui aujourd’hui allège les charges des entreprises.
mes idées, celles d’un socialisme de l’offre
Je sais ce que j’ai apporté à la France, dans une période difficile, et que j’ai vraiment, à ma façon, respectueuse de la liberté, des convictions et du travail de chacun, dirigé ce grand ministère.
mon travail, mon écoute, mon sang froid
J’ai acquis, dans ces responsabilités, une expérience, une connaissance de la France, du monde et de l’Europe
J’ai souffert à Bercy, parce que c’est dur, parce que c’est un travail écrasant, parce que les circonstances étaient très difficiles.
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
dimanche 13 avril 2014
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