Tel est le titre du volet du 14 mars 2013 du " Journal de campagne " du candidat " socialiste " (donc de droite) à la mairie de Marseille Patrick Mennucci mis en ligne par La Tribune.
Extraits :
Aux Marseillais auxquels je m'adresse chaque jour, je répète sans me lasser que notre ville ne s'en sortira qu'avec un effort soutenu et constant en faveur de la création d'entreprises
Marseille, ville ouvrière, ville rebelle, ville connue pour sa combativité syndicale, peut être fière de sa longue tradition, aux avant-postes des luttes sociales. Cet état d'esprit nous caractérise. Moi-même, petit-fils d'un Italien venu à Marseille pour ne pas mourir de faim, je suis le produit de cette culture ouvrière. Je suis pratiquement né socialiste et je suppose que je mourrai socialiste.
C'est pourquoi je prône aujourd'hui le « compromis historique » entre les forces du travail et les puissances du capital, entre les salariés et les entrepreneurs.
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
samedi 15 mars 2014
" Le maire, les patrons, les syndicats : oui au compromis historique "
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