Extraits d'une conférence de presse du 18 février 2014 de Thierry Mandon, député " socialiste " de l'Essonne, et porte parole du groupe P " S " :
Il y a belle lurette que nous savons, que nous sommes convaincus, que sans confiance, il n’y a pas de création, pas d’investissement et pas d’innovation.
nous voulons surtout bâtir, et c’est ce dont nous devons convaincre tous nos partenaires, salariés comme entreprises
Il y a un effort sans précédent de la nation en direction de ses entreprises
la nation démontre un comportement responsable vis-à-vis de ces entreprises en danger de compétitivité
l’image de l’entreprise dans le pays
notre engagement est absolument loyal en direction du monde de l’entreprise, parce que nous savons que des entreprises fortes font des salariés heureux, que les entreprises qui se développent font des chômeurs qui trouvent du travail
une vision de l’entreprise à qui nous faisons confiance
un pouvoir qui a choisi, parce que c’est l’intérêt des salariés de ce pays, parce que c’est l’intérêt des chômeurs de ce pays, de trouver un nouveau partenariat avec notre monde économique
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
samedi 1 mars 2014
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire