... s'appelle Christophe Caresche, et le 19 août 2014 Le Nouvel Observateur met en ligne les ordres de cet adjudant d'opérette.
Extraits :
Ce qu'il faut faire, c'est approfondir la politique qui est menée
la compétitivité de nos entreprises
Il s'agit de ne pas changer d'orientation car elle est bonne. Mais je fais partie de ceux qui pensent qu'il faut aller plus loin, qu'il faut d'autres réformes. On peut par exemple évoquer l'assouplissement des seuils sociaux dans les entreprises ou encore la question du travail le dimanche - la France n'a pas à se priver de toutes les opportunités pour relancer la croissance et la consommation. Ces sujets pourraient tout à fait être traités. En résumé, on garde le cap mais on ne reste pas statique pour autant.
une politique de réformes et de consolidation budgétaire
efforts budgétaires
Il est nécessaire que la France montre des gages de sa volonté de poursuivre son effort. On doit donc pour cela aller jusqu'au bout de la mise en place du pacte de responsabilité qui engage 50 milliards d'économies.
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
dimanche 24 août 2014
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