... nous apprend Olivier Torres dans un article titré " La santé des dirigeants, sujet capital ou marginal ? " et mis en ligne par Le Monde le 23 octobre 2014.
Extraits :
peut-on
dire que la santé des dirigeants est une affaire marginale ? Non si
l’on accepte de sortir du cadre très médiatisé des très grands groupes
pour aborder cette fois-ci le cas des PME et TPE souvent ignorées des
médias mais pesant pour plus de la moitié du PIB.
Le capital santé du dirigeant est le principal actif immatériel d’une PME.
Plus la taille de l’entreprise est petite, plus le lien de proximité
entre la santé du dirigeant et la santé de l’entreprise est fort au
point de rendre l’entreprise totalement dépendante de la bonne santé de
son dirigeant.
En paraphrasant Amadou Hampâté Bâ, « quand un patron de PME meurt, c’est un patrimoine qui brûle ». Plus l’entreprise est petite, plus la santé du dirigeant prend une importance considérable.
D'après Le Monde Olivier Torres est " président
d’Amarok, observatoire de la santé des dirigeants de PME, professeur à
l’université et à Montpellier Business School et titulaire de la chaire
santé des entrepreneurs (LABEX Entreprendre) " .
Longue vie à Olivier Torres !
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
vendredi 24 octobre 2014
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