Clotilde Valter est une députée " socialiste " et ancienne conseillère de Lionel Jospin, donc une femme de droite.
Le 3 mai 2014 elle tombe amoureuse d'un éditorial de François-Régis Hutin publié par Ouest France :
Extraits de cet éditorial :
Nos pesanteurs deviennent évidentes et nous retardent
Les effectifs de la fonction publique ont augmenté, entre 2000 et 2005, de 240 000, soit 48 000 de plus par an en moyenne
le temps des réformes est venu ; bien imprudents sont ceux qui ne s'y emploieraient pas ou n'y collaboreraient pas
Nous devons donc tenir nos engagements et en revenir au fameux chiffre de 3 % de déficit que nous imposent, non pas Bruxelles, mais les accords passés entre les chefs de gouvernements de l'Union européenne, garantis, avec notre assentiment, par Bruxelles.
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
dimanche 4 mai 2014
Une députée " socialiste " subjuguée par un " éditorial à 2 balles "
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