Le 14 février 2014 le site de Challenges publie une interview de Fleur Pellerin, une ministre " socialiste " qui est la synthèse de Nicolas Demorand et Nadine Morano.
Extraits :
l’inauguration du French Tech Hub
des entreprises qui veulent se développer dans un écosystème innovant
les dispositifs favorables aux start-up ne seront pas remis en question pendant le quinquennat
Nous cherchions un nom de guerre qui puisse être vecteur de communication pour l’international. Il est mis à la disposition de tout le monde, certains l’ont déjà inscrit sur leur carte de visite : "Proud member of la French Tech."
nos entrepreneurs sont de plus en plus mobiles et ouverts sur l’étranger.
Nous consacrons 20 millions d’euros pour encourager les démarches de sensibilisation à l’entrepreneuriat et à l’innovation dès l’école. Dans l’absolu, j’imagine un reality-show sur des créateurs de start-up.
faire émerger l’équivalent d’un Nasdaq européen.
Nous adoptons une approche qui laisse les clés aux écosystèmes. Nous allumons la flamme, à eux d’apporter le carburant.
le numérique avance par vagues d’innovation successives, il faut se préparer pour la suivante ! Mais il faut pour cela changer le système en profondeur, c’est pourquoi je parle de "start-up République".
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
vendredi 14 février 2014
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