Extraits d'un article de Catherine Dowmont mis en ligne par Sud Ouest le 21 février 2014 et consacré un coquetèle avec un ministre " socialiste " .
Le ministre délégué chargé du budget a rencontré les chefs d’entreprise.
Ce n'est pas tous les jours qu'un site comme celui de la technopole de Martillac accueille un ministre. Hier, c'était le cas avec la venue de Bernard Cazeneuve, ministre délégué chargé du budget. De passage en Gironde et à l'invitation de Gilles Savary, député de la 9e circonscription, Bernard Cazeneuve a consacré une heure à une rencontre avec les chefs d'entreprise issus du Sud-Gironde. (...)
Dans son avant-propos, le ministre évoqua les dernières mesures gouvernementales, comme le pacte de responsabilités, les allégements de charges et la fiscalité. « Le gouvernement fait le pari de l'entreprise (...) C'est le pari de la confiance avec ceux qui font la richesse et qui font le pari de la croissance. Et il n'y a pas de croissance sans confiance. »
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
dimanche 23 février 2014
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