1/ Jacques Drillon du Nouvel Observateur publie un livre en 1998 chez
Gallimard dans la collection L'Infini dirigée par Philippe Sollers,
lequel Sollers écrit parfois dans... Le Nouvel Observateur.
2/ Dans Le Nouvel Observateur du 9 novembre 2006 Jacques Drillon rend compte d'un livre de Philippe Sollers:
" On aurait bien aimé, au lycée, avoir un professeur de littérature
comme Sollers. Qui aurait su tout comprendre et tout expliquer. Qui ait
la littérature dans le sang. (...) cette suite de leçons étincelantes (...) c’est un livre où il y a beaucoup de sommets (...) Proust n’est pas loin, et c’est le plus élevé, dix pages d’anthologie (...) Vers
la fin, le professeur Sollers (on pourrait l’aimer pour ce livre
seulement) cite d’ailleurs un distique de Du Fu (viiie siècle) (...)".
3/ Jacques Drillon du Nouvel Observateur publie un livre en 2009 chez
Gallimard dans la collection L'Infini dirigée par Philippe Sollers,
lequel Sollers écrit parfois dans... Le Nouvel Observateur.
4/ Dans Le Nouvel Observateur du 2 janvier 2014 Jacques Drillon rend compte d'un livre de Philippe Sollers,
lequel Sollers écrit parfois dans... Le Nouvel Observateur.
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
dimanche 12 janvier 2014
Jacques Drillon et Philippe Sollers inventent la valse à 4 temps du renvoi d'ascenseur.
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