« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.

lundi 31 mars 2014

Nous sommes la droite ! (16)

Lundi 31 mars 2014, le président "socialiste " de la République, un certain Pierre-François Gatazoland de l'Entreprise, récite son mantra à la télé.

Extraits :

efficacité

Ce sont les entreprises qui créent les emplois et nous devons tout faire pour qu’elles y parviennent.

Moins de charges sur les entreprises

programme d’économies budgétaires

efficace

la compétitivité

jeudi 27 mars 2014

Nous sommes la droite ! (15)

La lecture du site du Progrès ce vendredi 21 mars 2014 montre que la porte-parole du gouvernement, la " socialiste " Najat Vallaud-Belkacem, mène une campagne électorale avec des arguments que même les traders n'oseraient pas employer.


mercredi 26 mars 2014

Le supporteur n°1 de Jean-François Copé est " socialiste " .

Sur le site Rue 89 ce 26 mars 2014 Pascal Riché fait le portrait de Jérôme Safar, un " socialiste " candidat à la mairie de Grenoble.

Et voici ce que dit Jérôme Safar à propos de Jean-François Copé :

" (...) je reconnais l’intelligence, les capacités, le talent et le culot de Copé. Il est bluffant. "

mardi 25 mars 2014

Nous sommes la droite ! (14)

Le député " socialiste " Jean-Marie le Guen met en ligne sur son blog le 25 mars 2014 une tribune dont la proposition phare fait de lui et de ses  4 co-rédacteurs d'excellents rabatteurs du Medef  et du Parti de la Presse et de l'Argent :



dimanche 23 mars 2014

Les " socialistes " font exister et croître le Front national.

Dans D'une révolution conservatrice, un livre paru aux éditions Léo Scheer en 2007, Didier Eribon écrit p. 63:

" Je me souviens de Pierre Bourdieu me disant, au milieu des années 1990 : « Ce pur produit de l'ENA qu'est François Hollande se faisant élire à Tulle, c'est la fin de tout ! Ca veut dire le Front national à 20 % dans dix ans. » "

Florence Aubenas infantilise des ouvrières en grève.

Dans un très bon article mis en ligne par Le Monde le 15 mars 2014 Florence Aubenas raconte l'occupation de l'usine de la biscuiterie Jeannette par ses ouvrières et ouvriers suite à la mise en liquidation judiciaire de cette entreprise.

" A Caen, depuis quinze jours, les ouvriers occupent la biscuiterie Jeannette, 38 personnes en tout, des femmes pour l'essentiel. Plus d'un siècle durant, on y a fabriqué des « madeleines pur beurre » avant la mise en liquidation judiciaire cet hiver. "

Titre de l'article : " Les filles de chez Jeannette " .

On n'a jamais vu d'article titré : " Les garçons de la Commission de Bruxelles " , " Les garçons de chez Goldman Sachs " , " Les garçons du conseil d'administration de Total " ...




samedi 22 mars 2014

Nous sommes la droite ! (13)

Le 22 mars 2014 Challenges met en ligne un article de Laurent Fargues et Alice Mérieux qui rapportent des propos très élogieux de patrons à propos des ministres " socialistes " Arnaud Montebourg et Fleur Pellerin.

Extraits :

" Il [Arnaud Montebourg] donne une vision, sa vision, pas toujours bonne, mais il donne un souffle " , déclarait encore, le 15 mars, Vincent Bolloré, principal actionnaire de Vivendi, en pleine affaire SFR.

" Il [Arnaud Montebourg] est devenu un très bon ministre de l’Industrie, il faudrait qu’il poursuive à ce poste " , s’exclame Thierry Le Hénaff, PDG d’Arkema. " S’il y a remaniement, j’espère qu’il ne changera pas de maroquin " , renchérit l’ex-patron de Sanofi, Jean-François Dehecq, qui voit Arnaud Montebourg à la tête d’un superministère avec l’énergie, l’agroalimentaire et les transports.

" Elle [Fleur Pellerin] m’impressionne " , glisse Henri de Castries, PDG d’Axa. " C’est une ministre très agile " , ajoute le gestionnaire du fonds d’investissement Next-Stage, Grégoire Sentilhes

Nous sommes la droite ! (12)

C'est hallucinant, le ministre de l'économie et des finances, le " socialiste " Moscovici se marre en prenant les gens pour des cons sur son fil touitteur :



mercredi 19 mars 2014

Pour 200 000 euros t'as plus rien.

Le 18 mars 2014 Le Monde met en ligne un article de Gérard Davet et Fabrice Lhomme consacré à une " Perquisition au domicile de Michèle Alliot-Marie ", une ancienne ministre de Chirac et Sarkozy.
Dans cet article il est question de " mouvements de fonds troublants " dont aurait pu bénéficier Madame Alliot-Marie.
Et au détour d'une phrase les deux journalistes fendent l'armure  :

" Il est question, pour l'heure, d'une somme minime, 200 000 euros. ".

mardi 18 mars 2014

Légion d'honneur " socialiste " pour un poète du bizness.

Ce 18 mars 2014 le ministre " socialiste " de l'économie et des finances, un certain Pierre Moscovici, a remis les zinsingnes-de-la-légion-d-'-honneur au PDG de Carouf, un cerain Georges Plassat qui est réputé pour la qualité de ses propos :

dimanche 16 mars 2014

La droite est au pouvoir (108)

Le député " socialiste " Olivier Veran parle la langue des patrons avec aisance, son blog en témoigne :


samedi 15 mars 2014

" Le maire, les patrons, les syndicats : oui au compromis historique "

Tel est le titre du volet du 14 mars 2013 du " Journal de campagne " du candidat " socialiste " (donc de droite) à la mairie de Marseille Patrick Mennucci mis en ligne par La Tribune.

Extraits :

Aux Marseillais auxquels je m'adresse chaque jour, je répète sans me lasser que notre ville ne s'en sortira qu'avec un effort soutenu et constant en faveur de la création d'entreprises

Marseille, ville ouvrière, ville rebelle, ville connue pour sa combativité syndicale, peut être fière de sa longue tradition, aux avant-postes des luttes sociales. Cet état d'esprit nous caractérise. Moi-même, petit-fils d'un Italien venu à Marseille pour ne pas mourir de faim, je suis le produit de cette culture ouvrière. Je suis pratiquement né socialiste et je suppose que je mourrai socialiste.
C'est pourquoi je prône aujourd'hui le « compromis historique » entre les forces du travail et les puissances du capital, entre les salariés et les entrepreneurs.

Nous sommes la droite ! (11)

Jean-David Ciot est un député " socialiste " qui se bat avec les damnés de la terre :


Nous sommes la droite ! (10)

Thierry Mandon est un député "socialiste " qui pense comme les patrons.
Et, avec amour, il met en ligne sur son site un article d'un organe patronal.



vendredi 14 mars 2014

Nous sommes la droite ! (9)

Le 14 mars 2014 Le Monde met en ligne un article à la gloire du ministre " socialiste " du redressement productif Arnaud Montebourg.

Le titre est tout un poème : " Arnaud Montebourg, l’homme fort des patrons "

Extraits :

« Je suis là pour vous aider, claironne-t-il. Si vous avez besoin de moi, venez me voir à Bercy, je suis à votre disposition. » Bingo : en quelques phrases, le ministre retourne la salle. Plus tard, un chef d’entreprise lui demandera même d’être « notre nouveau Colbert »…

M. Montebourg multiplie aujourd’hui les attentions à l’égard des chefs d’entreprise.
Depuis quelques mois, les patrons se bousculent dans le bureau du bouillant ministre. Bien sûr, il y a beaucoup d’industriels, comme Benoît Potier (Air Liquide), Gérard Mestrallet (GDF Suez), Carlos Ghosn (Renault Nissan), Antoine Frérot (Veolia), Philippe Crouzet (Vallourec) ou Anne Lauvergeon, une habituée.

tous créditent le ministre d’avoir «
remis l’industrie au cœur des préoccupations de l’Etat, ce qui n’était plus le cas depuis vingt ans ».

Il s’entend très bien avec Vincent Bolloré, pourtant réputé proche de Nicolas Sarkozy, et reçoit régulièrement Henri Proglio (EDF), dont une partie du gouvernement réclame toujours le départ. De même, il a de bonnes relations avec Martin Bouygues, dont il soutient l’offre de reprise de SFR. «
Montebourg, lui au moins, il a des c… », aurait lâché le PDG à François Hollande, qui l’a reçu le 27 février à l’Elysée, au côté de François Pinault.

Même les patrons high-tech ont désormais leur rond de serviette au troisième étage de Bercy, là où se trouvent les bureaux du ministre. Ces derniers mois, Jacques-Antoine Granjon (Vente-privée.com), Bernard Charlès (Dassault Systèmes), Cédric Tournay (Dailymotion) ou Olivier Piou (Gemalto) ont été aperçus dans les couloirs. Xavier Niel, fondateur d’Iliad et actionnaire à titre individuel du Monde, vient également échanger avec lui. «
Ces deux-là, ils se reniflent et se tournent autour dans une sorte de fascination-répulsion », s’amuse un témoin.

les 34 plans industriels, annoncés en septembre 2013, qui doivent stimuler l’activité tricolore dans les domaines des biocarburants, des voitures sans chauffeur ou de la nanoélectronique, et dont le comité de pilotage devait être installé vendredi 14 mars. «
Cela a un vrai effet d’entraînement dans nos entreprises », constate, séduit, un patron du CAC 40.

M. Montebourg n’hésite plus à taper sur les syndicats. Début janvier, il a publiquement condamné la séquestration par la CGT de cadres de Goodyear à Amiens. «
J’ai été le seul à le faire », se rengorge-t-il.

«
Je soutiens les syndicats quand ils défendent leur outil de travail, pas quand ils font de la terre brûlée, précise au Monde le ministre. 

l’élu de Saône-et-Loire dit avoir des discussions franches avec Pierre Gattaz


Fin octobre 2013, le patron des patrons a même invité M. Montebourg à plancher devant ses troupes sur la compétitivité. « Il a été chaleureusement applaudi », se souvient un participant.

«
Il y a chez lui des gars qui savent lire un compte d’exploitation », assure le PDG d’une importante société de services. Plusieurs conseillers ont fait leurs armes dans le privé avant de rejoindre Bercy. Son conseiller spécial, Christophe Bejach, qui vient de le quitter, avait travaillé avec Jean-Charles Naouri, le patron de Casino, et fondé la compagnie aérienne L’Avion, revendue en 2008 à British Airways. Son remplaçant, Nicolas Milesi, recruté début février, a fait une partie de sa carrière chez Danone, avant de prendre la tête de Châteaud’eau, le numéro un français de la distribution de bonbonnes d’eau dans les entreprises.

De même, M. Montebourg n’hésite pas à court-circuiter son administration quand il l’estime nécessaire. Pour sauver l’usine d’aluminium de Rio Tinto Alcan à Saint-Jean-de-Maurienne (Savoie), que le géant minier voulait fermer, il a fait appel à l’un de ses amis, Arié Flack, banquier d’affaires à la Compagnie financière du Lion, pour faire le tour des repreneurs et sécuriser le montage juridique.


A l’écouter, M. Montebourg n’aurait rien changé à son comportement ou son discours. « Je ne pense pas avoir changé, assure-t-il. Je n’ai d’ailleurs jamais eu un discours antipatrons. Je considère juste qu’il y a des chefs d’entreprise patriotes et d’autres qui ne le sont pas. » 


« Ma ligne, c’est la reconstruction de l’industrie. Mon discours, l’alliance des forces productives, assène-t-il.

jeudi 13 mars 2014

" Je crois en l'entreprise " Amen

Le fil touitteur de Pierre Moscovici, un ministre " socialiste " de l'économie et des finances, est saturé de propos dégoulinants d'amour pour lézentreprises :




mercredi 12 mars 2014

" Nous n’avons pas l’habitude, en France, de mettre en avant la réussite des entrepreneurs "

... Ainsi s'exprime Valérie Rabault, une députée " socialiste " , dans une interview parue le 12 mars 2014 sur le site www.new-cfo.fr qui se présente comme étant " l'e-magazine des DAF nouvelle génération " .

Extraits :

Ce qui est certain, c’est que nous n’avons pas l’habitude, en France, de mettre en avant la réussite des entrepreneurs. A plus forte raison lorsqu’il s’agit de petites et de moyennes entreprises.

La vérité, c’est que pour la PME tout est plus dur : elle paye proportionnellement plus d’impôts sur les bénéfices, elle a des accès compliqués au financement, etc. Je souhaite qu’on leur envoie un signal fort.

les lois se votent à Paris, où on n’entend plus les PME qui sont assez mal représentées par le Medef.

Il faut dire que nous sommes le pays des paradoxes. Celui qui, en Europe, fait le plus d’enfants mais qui est en même temps le plus pessimiste. Avec les entreprises, c’est pareil : parmi les européens, nous sommes de ceux qui en comprennent mal le fonctionnement mais aussi de ceux qui les aiment le moins ! Il y a là un maléfice très français.
Peut-être aussi que si la représentation nationale, qui ne compte que 15% d’élus ayant travaillé dans une entreprise privée, souvent dans des grands groupes qui plus est, en accueillait un plus grand nombre, ses décisions seraient-elles plus en adéquation avec les besoins des entrepreneurs ?

lundi 10 mars 2014

" S'inscrire à la fac doit coûter plus cher "

... Ainsi s'exprime Pierre-Cyrille Hautcoeur dans Le Monde daté du 11 mars 2013.

P.-C. Hautcoeur est le président de l'EHESS et cet " économiste " semble tout droit sorti d'un film de série z produit par TF1 et réalisé par Pierre-François Gatazoland.

Extrait de l'article de P.-C. Hautcoeur :

même si l'Etat dépense relativement beaucoup par étudiant en moyenne, le caractère presque exclusivement public du financement des universités ne permet plus à celles-ci de fournir l'encadrement et l'insertion demandés par les familles.
Lorsqu'un étudiant est le principal bénéficiaire de l'enseignement qu'il reçoit, parce qu'il accroît sa rémunération future, il est juste qu'il contribue à le financer.

Parce que l'Université est sous dotée financièrement, la plupart des étudiants y bénéficient d'une formation gratuite de haute qualité scientifique, mais sans l'accompagnement pédagogique nécessaire pour lui donner toute sa valeur.

la partie directement appropriée par l'étudiant (l'encadrement renforcé) peut justifier des droits d'inscription supérieurs dans les universités

Le gouvernement actuel encourage le rapprochement entre classes préparatoires et universités. Mais il ne résoudra pas le problème financier tant qu'il ne laissera pas les universités libres de mettre en place les droits d'inscription qui leur permettraient de concurrencer, à armes égales, les écoles.

samedi 8 mars 2014

Nous sommes la droite ! (8)

Le 8 mars 2014 Terrafemina met en ligne une interview de Fleur Pellerin qui est une ministre " socialiste " chargée de la propagande en faveur de lézentreprises.

Extraits des propos de Fleur Pellerin :

Développer l’entrepreneuriat féminin

Dans la continuité des Assises de l’Entrepreneuriat, j’ai élaboré avec Najat Vallaud-Belkacem le plan « Entreprendre au féminin »

toutes ces entrepreneuses de la French Tech

ne pas hésiter à entreprendre

Le plan « entreprendre au féminin » que j’ai lancé avec Najat Vallaud-Belkacem vise notamment à renforcer la sensibilisation et l’information des femmes à la vie de l’entreprise et à l’entrepreneuriat

nous allons mettre en place le parcours de sensibilisation et de formation à la création d’entreprise, plus globalement à l’envie d’entreprendre, annoncé par le Président de la République à l’issue des Assises de l’Entrepreneuriat

une association d’entrepreneurs qui donne du temps pour simuler la création d’une mini-entreprise dans un collège

un professeur passionné qui organise un concours Start-up Lycée

après avoir exercé plus d’une centaine de métiers, dont celui de Présidente et de pilote d’avion, il était certainement temps que Barbie compte celui d’entrepreneure à son actif !

je l'offrirai peut-être à ma fille lorsque Barbie sera une entrepreneure de la French Tech, avec dans sa panoplie le coq rouge qui la symbolise !

Nous sommes la droite ! (7)

Dans le numéro de janvier 2014  de Finance et gestion, un mensuel qui se présente comme étant La revue d'échange des dirigeants financiers, on peut lire une interview de Claude Bartolone, le président " socialiste " de l'Assemblée nationale.

Extraits :

il est indispensable de redresser les marges de nos entreprises

Onze entreprises françaises, plus EADS, figurent dans les 100 premières entreprises mondiales.

une certaine idée de l’entreprise

il faut réhabiliter une certaine idée de l’entreprise : la France a besoin de l’audace créatrice de ses entrepreneurs et doit s’appuyer sur eux pour réinventer des produits, des services, et créer à nouveau de la valeur

créer un électrochoc de compétitivité et de croissance

un pacte de confiance entre l’État et les entreprises

vendredi 7 mars 2014

Nous sommes la droite ! (6)

Le fil touitteur de Pierre Moscovici, un ministre " socialiste " de l'économie et des finances, est saturé de propos dégoulinants d'amour pour lézentreprises :


dimanche 2 mars 2014

Nous sommes la droite ! (5).

Extraits du point presse du 24 février 2014 du sénateur " socialiste " David Assouline :


samedi 1 mars 2014

Nous sommes la droite ! (4)

Extraits d'une conférence de presse du  18 février 2014 de Thierry Mandon, député " socialiste " de l'Essonne, et porte parole du groupe P " S " :

Il y a belle lurette que nous savons, que nous sommes convaincus, que sans confiance, il n’y a pas de création, pas d’investissement et pas d’innovation.

nous voulons surtout bâtir, et c’est ce dont nous devons convaincre tous nos partenaires, salariés comme entreprises

Il y a un effort sans précédent de la nation en direction de ses entreprises

la nation démontre un comportement responsable vis-à-vis de ces entreprises en danger de compétitivité


l’image de l’entreprise dans le pays

notre engagement est absolument loyal en direction du monde de l’entreprise, parce que nous savons que des entreprises fortes font des salariés heureux, que les entreprises qui se développent font des chômeurs qui trouvent du travail

une vision de l’entreprise à qui nous faisons confiance

un pouvoir qui a choisi, parce que c’est l’intérêt des salariés de ce pays, parce que c’est l’intérêt des chômeurs de ce pays, de trouver un nouveau partenariat avec notre monde économique

Nous sommes la droite ! (3)

Le 28 février 2014 La Tribune met en ligne une tribune du député " socialiste " Patrick Mennucci.

Extraits :

concevoir l'avenir en attirant les entreprises

la compétition des territoires

Je ne sortirai de ma ville que pour aller chercher des entreprises et des investisseurs partout où cela sera nécessaire

Je suis un ardent défenseur du compromis historique entre les entrepreneurs et les salariés, car j'ai toujours considéré qu'on ne peut distribuer la richesse que l'on n'a pas commencé par créer.