Le 11 février 2013 le site du Nouvel Observateur interroge Philippe Sollers à propos de la démission du pape Benoît 16.
Celui qui se prend pour le-pape-des-Lettres se lâche :
"(...) Je suis allé offrir mon livre sur Dante à Jean-Paul II en 2000 («la
Divine comédie»). Ca a donné une photo qui a affolé les sacristies. (...) son livre sur Jésus, ça se lit. Comme plus personne ne sait de quoi il
s’agit, même chez les catholiques, il en parle très humblement, et ça
donne un bon polar. J'en avais rendu compte dans «le Nouvel Observateur», je l’avais lu sans me forcer, vraiment."
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
mercredi 13 février 2013
Philippe Sollers ne parle que de Philippe Sollers... sans se forcer.
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