Lundi 17 septembre 2012 Vincent Giret signe l'éditorial de Libération consacré à l'élection du président de l'UMP par les militants.
Il écrit cette énorme bêtise:
"(...) Même balbutiante, cette tentative baroque d’élection interne est une
première dans l’histoire d’une droite jusqu’ici tout entière vouée au
culte du chef. Les militants auront le dernier mot et c’est en soi une
petite révolution dans un parti où le chef s’est toujours imposé sans
que nul n’ait pu en disposer.(...)".
Vincent Giret ne semble pas savoir qu'en novembre / décembre 1999 les militants du RPR (l'ancêtre de l'UMP) avaient à élire leur président qui fut une présidente (Michèle Alliot-Marie élue au second tour le 4 décembre 1999).
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
lundi 17 septembre 2012
Quand le directeur délégué de la rédaction de Libération, un certain Vincent Giret, étale son inculture politique cela ridiculise les salariés de Libération.
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