Avec Stéphane Paoli le hasard est toujours bien organisé : Jean Viard a co-édité des livres avec Paoli Stéphane dont un livre de Dominique Wolton :
_ Stéphane Paoli : "Bonjour Arnaud, merci de nous appeler, bienvenue à vous, vous êtes en ligne à Montpellier."
_ Arnaud : "Oui bonjour, Stéphane Paoli, vous avez invité le sociologue entre guillemets Dominique Wolton sur France Inter au "7-9" les 07 juin 2005, 24 juin 2004, 10 décembre 2003, 05 février 2003, 06 septembre 2002 ainsi qu'à l'émission "Baobab" le 30 octobre 2005.
Vous avez tous les deux participé au 13ème congrès des réseaux CER à Deauville le 03 juin 2005 ainsi qu'à une même table ronde au congrès de l'Union Sociale pour l'habitat à Bordeaux le 22 septembre 2000.
Vous avez tous les deux, Stéphane Paoli et Dominique Wolton, participé à des meetings patronaux organisés au théâtre du rond-point des Champs Elysées les 10 octobre 2005, 13 décembre 2004 et 07 janvier 2004.
Vous avez, Stéphane Paoli, présenté dans "contre-courant" sur France 2, le 29 avril, de vieux entretiens de Dominique Wolton avec un curé. Dominique Wolton est membre du conseil d'administration de France 2, et passe sa vie dans les médias, notamment chez le plagiaire Thierry Ardisson sur France 2.
Stéphane Paoli, n'avez-vous pas la sensation qu'il est possible de parler de connivence et de copinage au sujet de vos pratiques avec Dominique Wolton?
Cher Stéphane, j'aimerai que pour une fois vous n'esquiviez pas la question qui vous est posée avec une pirouette de marchand de tapis mais que vous répondiez vraiment."
_ Stéphane Paoli : "Alors puisque vous êtes un homme élégant, je vais être, je vais essayer d'être aussi élégant que vous. Votre question est extraordinairement importante en un jour comme aujourd'hui [rire de Stéphane Paoli]. Je sais pas comment vous vous appelez, on ne saura jamais comment vous vous appelez. Euh cette forme… on n'est pas tellement hors du sujet finalement, il ne faudrait pas que la justice un jour ou que les mises en accusation soient faites de telle façon. Parce que d'abord c'est navrant, ensuite c'est médiocre, par ailleurs c'est faux. Donc, Monsieur, je suis navré de vous le dire comme ça, je vous plains beaucoup, je vous souhaite bonne chance dans la suite de vos aventures radiophoniques ou pas. Alors il serait temps qu'on revienne peut-être au… Ca mérite vraiment pas de répondre. D'ailleurs je vous ai plusieurs fois déjà répondu. Donc au revoir peut-être à bientôt et puis j'allais dire tant pis pour vous. C'est Elisabeth qui est en ligne, bonjour Elisabeth et bienvenue à l'antenne."
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