"(...) Joffrin, en fin connaisseur de l'épopée napoléonienne, s'amuse et nous amuse. Le récit est vif, pittoresque, coloré (...) Sur la lancée d'Alexandre Dumas et de Conan Doyle, Laurent Joffrin réconcilie l'histoire et le polar, l'aventure et la politique, l'humour et le drame hugolien. Résultat : un livre qu'on lit au grand galop, en savourant."
C'est bon François, tu vas l'avoir ton augmentation.
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
jeudi 17 janvier 2013
Amour du chef : dans Le Nouvel Observateur du 17 janvier 2013 François Forestier rend compte avec ferveur du dernier "livre" de Laurent Joffrin qui est le directeur du Nouvel Observateur :
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