Dans le supplément "Ciné Télé" du Nouvel Observateur du 10 mai 2012 Philippe Vecchi consacre sa chronique à Edouard Waintrop, un ancien collègue de Philippe Vecchi à Libération:
"Waintrop, boss de la Quinzaine. Pourquoi l'ancien journaliste à "Libération" est l'homme de la situation... (...) Edouard Waintrop, dont la culture hyperpanoramique et le bagout imparable (...) On arrête difficilement Edouard Waintrop (...) ses exigences éclectiques (...)".
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
dimanche 13 mai 2012
Philippe Vecchi fait l'apologie de son ancien collègue Edouard Waintrop.
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