Dans
Marianne (20 octobre 2012),
l’éditorial de Maurice Szafran s’intitule « Lire Minc, Dély et
Gozlan », trois amis de l’auteur.
« Fréquemment, nous sommes en
désaccord avec Alain Minc, en quelque sorte le meilleur ennemi de Marianne. […]
C’est donc sans le moindre complexe que j’incite tout ceux qui me font (un peu)
confiance à lire son dernier livre, l’Âme des nations. […] L’ouvrage est à la
fois passionnant et éclairant. »
Szafran lèche ensuite le dernier ouvrage de Renaud Dély, sans préciser que ce
dernier fut directeur adjoint de la rédaction de Marianne jusqu’en 2012.
Puis il passe au livre « bouleversant » de « notre collaboratrice » Martine Gozlan sur Israël contre Israël. L’autre
menace : « Lire “le”
Gozlan est une nécessité ».
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
samedi 27 octobre 2012
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