Mardi 16 octobre 2012 Nicolas Demorand (Cogérant de Libération, Coprésident du directoire de Libération, Directeur de la publication et de la rédaction de Libération) se révolte dans son éditorial de Libération contre le projet des socialo-communistes de prendre en compte les oeuvres d'art de plus de 50 000 € dans le calcul de l'Impôt Sur la Fortune:
"(...) projet, porté par la gauche parlementaire, de faire entrer les œuvres
d’art dans l’assiette de l’ISF. Cette mesure est pourtant grotesque.
D’abord parce que, de l’avis même de ceux qui la défendent, elle ne
rapportera rien ou presque au budget de l’Etat. En revanche, elle
désorganisera profondément le fragile écosystème qui permet à des
expositions de se monter, à des chercheurs en histoire de l’art de
travailler, à nos institutions culturelles de continuer ainsi à attirer
les publics immenses qui s’y pressent. Enfin, le marché de l’art, comme
tant d’autres, se délocalisera : les villes candidates ne manqueront
pas. Quant aux collectionneurs qui, le plus souvent, font don à la
France de leurs œuvres afin qu’elles rejoignent le patrimoine national
et enrichissent les collections permanentes de nos musées, ils
changeront de passion. Opposer, comme le fait cet amendement, art et
crise économique : une régression intellectuelle et politique."
"le fragile écosystème" mental Nicolas Demorand est un excellent porte-parole des dominants et des possédants.
C'est Vrai, Nicolas Demorand, heureusement que des milliardaires comme Arnault et Pinault existent car sans eux à quoi et qui serviraient les serviteurs empressés à la ...Demorand.
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
mardi 16 octobre 2012
Le cumulard Nicolas Demorand va t-il, comme Benrard Arnault, demander la nationalité belge pour échapper aux hordes bolchéviques qui déferlent sur la France?
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