Et Garcin en fait des tonnes:
"(...) un tel roman polyphonique (...) un tétralogie si savante et complexe, affolante et comique, où pullulent narrateurs et sosies, est un défi à la critique (...) ce roman-monstre (...) le démiurge (...) une tragi-comédie moderne (...) un roman vertigineux (...) "
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
mercredi 3 octobre 2012
Dans Le Nouvel Observateur du 4 octobre 2012 Jérôme Garcin fait la réclame du dernier de Pierre Jourde qui tient un blog sur le site du Nouvel Observateur.
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