Dans Le Nouvel Observateur du 29 septembre 2011 Serge Raffy rend compte du dernier livre de François Cérésa qui est un ancien du Nouvel Observateur:
" (...) François Cérésa est un romancier gouailleur, qui se sort de tous les guets-apens par de grands éclats de rire. Cela lui donne un style tonitruant et d'une drôlerie rare. (...) Il y a aussi chez ce hussard de la littérature du San-Antonio qui aurait lu Chateaubriand. (...) l'auteur nous ficelle un roman à la frénésie électrique et au ton décapant au bout duquel on a l'impression d'avoir été baladé. (...) "
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
lundi 3 octobre 2011
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