Dans Le Nouvel Observateur du 6 octobre 2011 Renaud Dély (du Nouvel Observateur) rend compte du dernier livre d'Hervé Algalarrondo du Nouvel Observateur:
"(...) Dans un pamphlet vif et énervant, Hervé Algalarrondo, en bon journaliste énervé (...)
Hervé Algalarrondo est un journaliste énervé. Il a donc pondu un livre énervant. Un pamphlet vif et enlevé qui bouscule quelques idées reçues et tape fort, quitte à ne pas toujours viser juste. (...)"
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
mercredi 19 octobre 2011
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