Le Nouvel Observateur du 9 février 2012 montre qu'appartenir au Nouvel Observateur c'est faire partie du cercle de la raison et de l'intelligence:
_ François Bazin rend compte de "Comment peut-on être français", le dernier livre de Jean Daniel l'éditocrate-fondateur du Nouvel Observateur:
"Il serait temps que Claude Guéant lise Jean Daniel et surtout qu'il le comprenne!(...) un titre qui dit tout (...) cet épais recueil (...) la cohérence d'une pensée suffisamment solide pour ne pas varier au grès des vents (...) une leçon (...) Jean Daniel n'a pas choisi la voie de la facilité (...)"
Plus loin on trouve une demi page de publicité consacrée au dernier livre de Jean Daniel.
_ Dans le supplément "Paris Ile de France" Claire Fleury fait un portrait de Frédéric Vitoux "Longtemps journaliste au "Nouvel Observateur" ".
"Affable comme un homme du temps jadis (...) avec un regard d'éternel enfant (...) son nouveau livre se lit comme un roman à clés (...)".
Dans les pages "Livres" Jean-Louis Ezine rend compte du dernier livre de Frédéric Vitoux:
"(...) Le héros vitolien contemple son époque avec la circonspection et l'ironie blasée de ces gentilhommes habitués à compenser par l'imaginaire les rudesses d'un siècle pour lequel ils ne se sentent pas faits. (...) ce romantique est en sympathie avec les plus insaisissables rebelles (...) Cruel et magnifique roman."
_ Jean-Gabriel Fredet publie une conversation avec Jean Christophe Rufin et Daniel Rondeau. Daniel Rondeau est un ancien journaliste du Nouvel Observateur.
Dans un entrefilet Jean-Gabriel Fredet rend compte du dernier livre de Daniel Rondeau:
"(...) Nostalgique de Barrès et de sa colline inspirée, admirateur de la prière sur l'Acropole de Renan, adorateur de Chateaubriand et de ses méditations sur la fuite du temps et la vanité des ambitions, Rondeau a trouvé un trait d'union entre civilisation engloutie et utopie créatrice: son style. Il emporte par le bonheur de ses descriptions. (...)".
_ Jérôme Garcin rend compte du dernier livre de Martine de Rabaudy co-auteure en 2004 d'un livre d'entretiens avec Jean Daniel l'éditocrate-fondateur du Nouvel Observateur:
"(...) L'existence de Martine de Rabaudy (...) tient du chemin de croix, du calvaire et du sacerdoce. (...)".
_ Dans le supplément "Ciné Télé" il y a une publicité pour le dernier livre de Jean-Claude Guillebaud du Nouvel Observateur:
"Dans ce recueil d'une centaine de ses meilleures chroniques publiées dans "Télé Obs", Jean-Claude Guillebaud (...) Observateur éclairé (...) cet homme libre en vient à dresser le tableau spirituel d'une époque. Un livre passionnant qui, à sa façon, est une forme de résistance aux puissances et à toutes les dominations."
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
samedi 11 février 2012
Le Nouvel Observateur: plaisirs de l'entre-soi, joies de l'entre-lèche.
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