... et le 2 mai 2013 le site du Nouvel Observateur met en ligne un entretien de François Forestier avec ... Franz-Olivier Giesbert. Et les questions de François Forestier sont un festival de lèche :
" Vous êtes chroniqueur télé, directeur d’une rédaction, auteur… Comment jongler avec tout ça ?
Donc, organisé, vous écrivez avec un plan, n’est-ce pas?
Vous passez d’un genre à l’autre avec facilité: roman, polar, essai, reportage… Vous êtes multicartes ?
Vous avez le sens du rythme, ce qui est rare dans les romans français. Vous l’avez acquis en lisant des livres américains ?
Vous allez continuer à travailler à cette allure longtemps ? " .
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
jeudi 2 mai 2013
Double copinage avec un éditocrate : dans Le Nouvel Observateur du 2 mai 2013 François Forestier rend compte du dernier livre de Franz-Olivier Giesbert qui a été un employé du Nouvel Observateur de 1971 à 1988 ...
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