Extraits d'une interview de Pierre Moscovici, ministre " socialiste " , parue dans Les Echos du 24 mai 2013 :
" (...) le soutien aux entreprises (...) Je libérerai davantage de temps pour le terrain, l’explication, les relations avec les entreprises. (...) Les entreprises sont au cœur de notre politique économique : nous voulons les aider à créer de la richesse et des emplois, à investir et à embaucher. (...) Et j’insiste auprès des entreprises : il n’y a pas de risque accru de contrôle fiscal, contrairement à ce que j’entends ici ou là ! J’ai donné des instructions très nettes à cet effet : le bénéfice d’un crédit d’impôt ne saurait constituer un axe de contrôle.(...) permettre aux assureurs de financer massivement les entreprises. Ceci devrait permettre de dégager 90 milliards d’euros de prêts.(...) les aléas de la vie des entrepreneurs ne doivent plus être stigmatisés ! (...) l’ensemble des mesures de simplification en faveur des entreprises sera présenté début juillet. (...) assurer le suivi des propositions Afep-Medef. (...) tous les députés socialistes, avec les écologistes et les Radicaux de gauche, ont voté le Programme de stabilité budgétaire (...) " .
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
vendredi 24 mai 2013
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