Extraits d'une tribune de Michel Destot, député " socialiste " et maire de Grenoble, publiée par le site du think tank " Inventer A Gauche " le 9 novembre 2012 :
" Pour une compétitivité durable
(...) les marges dans l’industrie manufacturière française (...)
le taux d’autofinancement des entreprises (...)
Pendant la campagne présidentielle, j’avais rencontré plusieurs dizaines de dirigeants d’entreprise, ainsi que beaucoup de mes collègues élus à la tête des grandes collectivités locales. Et ils m'ont toujours envoyé les mêmes messages : redonner confiance aux Français dans la puissance publique (Europe, Etat, Collectivités locales) ; redonner de la compétitivité à l’économie française au profit d’une croissance plus équilibrée et humaine. Bref, montrer les chemins d’une compétitivité durable, c'est-à-dire économique, sociale et écologique. (...)
La compétitivité de la France (...)
Nos entreprises (...)
les anticipations des entrepreneurs (...)
retrouver le chemin de la compétitivité et de l'emploi pour tous.(...)
les questions de «compétitivité hors coût» (...)
la gouvernance de l'entreprise (...)
dirigeants d'entreprises de toutes dimensions (...)
suivi de la compétitivité française (...)
(re)créer le dialogue entre les entreprises et le monde politique. (...)
développer le nombre et le volume de nos entreprises de taille intermédiaire (ETI) (...)
jeunes générations qui doivent avoir l’envie et l’opportunité d’entreprendre en France (...)
leviers pour catalyser notre compétitivité hors-coût. (...)
C'est un gouvernement de gauche qui peut mener à bien la réforme de la compétitivité prise
dans son ensemble. (...) " .
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
samedi 25 mai 2013
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