Extraits d'un communiqué des députés " socialistes " Alain Fauré et Frédérique Massat mis en ligne le 3 mai 2013 :
" (...) la majorité socialiste à l’Assemblée nationale a mis en place de nombreuses mesures concrètes et immédiates pour soutenir les entreprises françaises. Ces mesures prennent tout d’abord la forme du crédit d’impôt compétitivité emploi qui permet de diminuer les charges salariales et sociales des entreprises. Au total c’est un effort de 20 milliards d’euros qui a été engagé au profit de la compétitivité des entreprises. Ce dispositif concerne toutes les entreprises qui emploient des salariés rémunérés en dessous de 2,5 SMIC.(...) Le Crédit impôt recherche a été renforcé par un apport de trésorerie immédiat pour les entreprises et non plus l’année suivant les investissements. Le crédit d’impôt a été renforcé par un apport de trésorerie immédiat, en effet, dans un premier temps les entreprises ne devaient obtenir cet apport que l’année suivant les investissements. Dans cette même logique, le statut des jeunes entreprises innovantes est renforcé avec une exonération de 100 % des charges sociales sur 8 ans et des abattements sur les bénéfices.
Enfin la compétitivité de nos entreprises passe aussi par la transmission des compétences. C’est tout le sens du contrat de génération qui lie l’embauche d’un jeune dans l’entreprise au maintien de l’emploi d’un senior. Pour les entreprises de moins de 300 salariés, le contrat de génération permet de bénéficier d’une aide annuelle de 4 000 euros. Par la transmission de l’expérience des salariés les plus anciens au service de la formation du jeune recruté, l’entreprise renforce la diffusion de son savoir-faire et sa culture interne. "
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
vendredi 24 mai 2013
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