La "philosophe" Elisabeth Badinter était interviewée par Hélène Jouan sur France Inter ce mercredi 6 juillet 2011.
Début de l'interview:
- Hélène Jouan: "Bonjour Elisabeth Badinter"
- Elisabeth Badinter: "Bonjour"
- Hélène Jouan: "Depuis le déclenchement de l'affaire dite DSK [Dominique Strauss-Kahn a été arrêté à New York le samedi 14 mai 2011] les féministes françaises sont montées au créneau pour dénoncer 1/ les propos machistes que cette affaire a suscités, et 2/ la difficulté pour les victimes d'oser parler. Pourquoi on ne vous a pas du tout entendue?"
- Elisabeth Badinter: "Eh bien on ne m'a pas entendue parce que justement je trouvais moi que la seule attitude convenable était de se taire pour l'instant."
Le mardi 17 mai 2011 le mari d'Elisabeth Badinter, Robert Badinter, était interviewé sur "l'affaire DSK" sur France Inter.
La cohérence médiatique de la famille Badinter est à la hauteur de la fortune d'Elisabeth Badinter (750 000 000 € d'après le palmarès de Challenges mis en ligne ce 7 juillet 2011).
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
mercredi 6 juillet 2011
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