_ Dans Le Nouvel Observateur du 16 juin 2011 Laurent Lemire rend compte d'un livre préfacé par Laurent Joffrin, le directeur du Nouvel Observateur depuis fin 2010 (il y avait déjà travaillé de 1988 à 1996 et de 1999 à 2006).
_ Le Nouvel Observateur du 11 novembre 2010 rendait compte d'un livre de Laurent Joffrin (à l'époque à Libération):
"(...) la vocation romanesque de Laurent Joffrin (...) Parce qu'il est journaliste, Laurent Joffrin sait la manière de construire une enquête. Romancier, il n'ignore pas qu'il doit lui ajouter les éléments capables de susciter la curiosité du lecteur. S' agissant de la reconstitution historique, l'affaire est rondement menée : le Paris de l'époque - avec ses porte-falots (porteurs de lumière), ses détrousseurs, ses prostituées - est reconstitué avec précision cependant que les enjeux et les politiques sont dépeints sur le même mode. (...) Entre réel et fiction, Laurent Joffrin navigue dans son récit avec l'aisance d'un vieux briscard.(...) On l'aura compris : il n'est pas nécessaire de sauver le « soldat » Joffrin. Mais il faut le lire."
_Hasard, le 10 avril 2010 François Bazin du Nouvel Observateur se voyait décerner Le Prix du Livre Politique, prix dans le jury duquel figurait Laurent Joffrin (à l'époque à Libération).
_ Le Nouvel Observateur du 16 juillet 2009 rendait compte d'un livre de Laurent Joffrin (à l'époque à Libération):
"Voilà un livre qui, par le biais des codes secrets, nous ouvre les coulisses de la grande histoire.(...) Laurent Joffrin a bien raison de renvoyer à l'«Histoire des codes secrets» de Simon Singh. Absolument tout ce dont il parle s'y trouve déjà. Mais on aurait tort de crier au plagiat pour autant. L'ouvrage de Singh est une remarquable tentative de vulgarisation qui reste un peu ardue et austère. Publié d'abord en série dans «Libération», celui de Joffrin l'élime, le réorganise, l'illustre de gravures et de photographies, l'agrémente de petits exercices. Il met en valeur les faits frappants avec un vrai sens dramatique. Le résultat est ludique et captivant."
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
samedi 16 juillet 2011
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