Le 10 avril 2010 François Bazin du Nouvel Observateur recevait le "Prix du Livre Politique".
Parmi les membres du jury il y avait Michèle Cotta (LCP AN et Direct 8) et Gérard Courtois (Le Monde).
Dans Le Nouvel Observateur du 5 janvier 2012 François Bazin rend compte:
_ du dernier livre de Michèle Cotta:
"Grâce soit rendue à Claude Durand, l'ancien patron de Fayard, qui a fait comprendre à Michèle Cotta qu'elle possédait un trésor. (...) une des plus formidables aventures éditoriales de ces dernières années. (...) elle est dotée de ce don, mélange d'obstination et de curiosité, qui l'a conduite à ne rien vouloir oublier. (...) chez Cotta tout fait ventre, tout fait sens. (...) l'immense talent d'une femme (...)"
_ et du dernier livre de Gérard Courtois:
"(...) Sous la direction de Gérard Courtois, c'est plus d'un demi-siècle dans la vie d'un quotidien de référence qui défile (...)".
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
vendredi 6 janvier 2012
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire