Dans
Le Point du 19 janvier 2012 Michel
Richard célèbre le livre de Patrick Besson, chroniqueur du Point, titré Patrick Besson au Point (Fayard, 954 pages, 26€). Richard écrit : «
Le plus simple est encore de reproduire la quatrième de couverture : ‘Un jour de l’été 2002, Franz-Olivier Giesbert m’a
demandé d’écrire sur la télévision chaque semaine dans Le Point. Je lui ai dit que j’écrivais déjà sur la télévision
dans un autre hebdomadaire. Franz m’a rappelé quelques jours plus tard et m’a
dit que, dans ce cas, je pouvais écrire sur n’importe quoi. C’est ce que j’ai
fait’. » Le livre comprend les 405
chroniques du Point. « Ces chroniques, c’est tout Besson. Déjanté, érudit,
impertinent, grave, rigolard, vengeur, provocateur, coquin, lettré, anar,
incontrôlable. »
Et
tout ça, chaque semaine dans Le Point.
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
dimanche 22 janvier 2012
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