Dans Libération du jeudi 7 avril 2011 Béatrice Vallayes rend compte du dernier livre de Robert Maggiori de Libération :
" (...) [le] dernier livre de notre critico-journalistico-philosophe maison, l’excellent Robert Maggiori. Un livre qui ressemble à son auteur que les lecteurs de Libération connaissent depuis trente ans : généreux, bienveillant, rigoureux, pédagogue, malicieux, tendre, sentimental, brisons là, l’inventaire des éloges deviendrait gênant pour lui. (...) une autre qualité de Maggiori : la modestie faite homme..."
Le livre de Robert Maggiori est publié dans une collection co-dirigée par Nicolas Demorand, le directeur de la publication et de la rédaction de Libération.
« (...) [ces] personnages de la scène médiatico-politique qui (...) miment la figure et le rôle de l'intellectuel (...) ils ne peuvent donner le change qu'au prix d'une présence constante dans le champ journalistique (...) et y importent des pratiques qui, en d’autres univers, auraient pour nom corruption, concussion, malversation, trafic d’influence, concurrence déloyale, collusion, entente illicite ou abus de confiance et dont le plus typique est ce qu’on appelle en français le "renvoi d’ascenseur" ». Pierre Bourdieu, « Et pourtant », Liber n°25, décembre 1995.
dimanche 5 juin 2011
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