Il développe à cette occasion une vision médicale qui lui permet de s'affirmer comme le Diafoirus du journalisme:
"A défaut de savoir toujours les guérir, au moins les politiques habiles savent-ils renifler les plaies qui suppurent et travaillent la société française. (...)
en explorant cette fracture civique qui s’est creusée entre les " sachants " et ceux qui sont à la traîne [Renaud Dély fait bien sûr partie des "sachants"] (...)
ce grave contentieux qui met en péril la santé de notre République (...)
la fracture civique se résorberait peu à peu, sous l’effet réparateur des technologies modernes de communication (...)
accoucher d’une véritable avancée démocratique (...)
la bonne santé de nos démocraties (...)
Le diagnostic tient donc en peu de mots : au gré de la fracture civique qui s’est creusée dans notre pays, le journalisme est tombé du mauvais côté. (...)
les deux plaies d’un journalisme balisé, propre, sage, fade (...)
cette fracture civique (...)
symptômes (...)
Ce cocktail explosif a accouché (...)
la fracture civique (...)
la presse sortira du coma dans lequel elle s’enfonce (...)
résorber la fracture civique (...)"
Le docteur Dély délivre son ordonnance: " C’est (...) en se plaçant aux côtés du lecteur, en se rapprochant de lui, de ses attentes et de ses désirs, en le prenant par la main pour l’emmener vers un dessein commun, que la presse sortira du coma dans lequel elle s’enfonce."
Renaud Dély est donc médecin et secrétaire de la section Nouvel Observateur du fan club d'Yves Duteil ( http://www.dailymotion.com/video/x24hed_yves-duteil-prendre-un-enfant-par-l_music).
Le docteur Dély au chevet du journalisme. |
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